Dlo Doubout
Dlo Doubout
Volume #3
The Lab
Daniel Dabriou
Le Lab est un espace de recherche et de réflexion sur mes pratiques photographiques et leur pertinence dans le traitement de « dlo doubout ».
Remerciements
Lunyse Gabon, Amel Phaliah, Johanna, Leila Guillaume, Rode Romel, Enry Kader, Les Dabs…
Je vous présente ici deux de mes axes de recherches.
L’un est une réflexion sur la relation entre la nature, les vestiges et la mémoire. On y retrouvera, d’une manière ou d’une autre, du texte en relation avec la mémoire, avec le lieu ou avec les hommes qui y travaillaient.
Le deuxième axe est la religion, en relation avec la canne à sucre, le peuplement de la Guadeloupe et l’esclavage des noirs…
Les procédés anciens, cyanotypes et kallitypes, rythment ces recherches photographiques.
Daniel Dabriou
Daniel Dabriou est né et vit en Guadeloupe. Issu d’un environnement culturel façonné d’oralité, il ne cesse de s’interroger sur la relation entre l’image et le verbe. Son approche photographique est à la fois documentaire et plasticienne. L’homme, dans toute sa complexité, est à la base de sa recherche photographique.
Son travail est hybride, il se fait en numérique et en argentique, à la chambre photographique. Pour Daniel Dabriou, la chambre photographique est un accès à une autre temporalité de la photo. Il porte, depuis quelques années, un intérêt particulier aux anciens procédés d’impressions photographiques, callitype, cyanotype…, pour la poésie qu’ils intensifient dans l’image.
Sa pratique est plurielle, il refuse l’enfermement dans un type de photographie et préfère parcourir et explorer des territoires différents. Il utilise la dimension poétique de l’image pour s’écarter des archétypes représentatifs des territoires caribéens.
Son travail est hybride, il se fait en numérique et en argentique, à la chambre photographique. Pour Daniel Dabriou, la chambre photographique est un accès à une autre temporalité de la photo. Il porte, depuis quelques années, un intérêt particulier aux anciens procédés d’impressions photographiques, callitype, cyanotype…, pour la poésie qu’ils intensifient dans l’image.
Sa pratique est plurielle, il refuse l’enfermement dans un type de photographie et préfère parcourir et explorer des territoires différents. Il utilise la dimension poétique de l’image pour s’écarter des archétypes représentatifs des territoires caribéens.